
« Obligées de télétravailler à la maison, certaines femmes ne supportent plus leurs enfants et leur mari : ça crie, ça pleure, ça mange, ça s’ennuie et ça ne fout rien. Quelle plaie ! »
C’est, en gros, ce qu’il ressort de cet article tout en sororité du Figaro Madame dénonçant la « charge mentale » de ses consœurs plutôt bobo friquées divorcées et, malheureusement, sans boniche ni Nanny.
De deux choses l’une : ou bien les femmes sont trop bonnes (trop c… ?) de tout gérer, ou bien les hommes s’avèrent définitivement des feignasses immatures (« tous des salauds ! »).
Et les enfants, des boulets qui ralentissent incontestablement la carrière des working girls du Figaro Madame.
Après la fin du coronavirus et du confinement, il faudra prévoir, sans nul doute, une épidémie d’abandon d’enfants et de maris. »
(Article relevé dans un grand quotidien parisien.)
Pouvons-nous croire que des journalistes peuvent par leurs écrits détruire le peu de vie familiale que nous avons en France ?
Peut-on croire aussi que l’humanité est à ce point malade d’une pandémie beaucoup plus sévère que le coronavirus, il a pour nom « égoïsme » ?
Il fut un temps où elle ne touchait que les hommes, maintenant elle touche aussi les femmes à un point tel qu’on invite les mères de famille à abandonner leurs enfants, ou ne plus en faire, divorcer de leur conjoint pour se consacrer uniquement à leurs carrières, au paraître dans une société dématérialisée d’un égoïsme sans limites, où l’argent est roi.
En se détournant de la parole de Dieu, elles ont recréé la secte de l’argent, Mammon.
Dans le Nouveau Testament, il personnifie la richesse matérielle qui est élevée en divinité à laquelle les hommes et les femmes sont susceptibles de vouer leur vie, nous sommes revenues au culte de Veau D’or.
Si on ne travaille pas, on n’a pas de retraite complète, de machine à laver, d’automobile, de loisirs, de vacances
Pouvons-nous penser un seul instant que la vie de famille avec nos proches est plus importante que le paraître dans des cercles pour se faire « mousser » auprès d’autres consoeurs de mêmes mentalités.
Dans l’ancien Israël et de nos jours dans notre monde occidental, il est normal que les femmes s’adressent librement à Dieu par la prière. La Bible parle de Anne qui a prié au sujet d’une question d’ordre privé et qui a fait un vœu à Dieu toute seul :
(1 Samuel 1 :11).
Et elle fit un vœu et dit : Éternel des armées, si tu veux regarder l’affliction de ta servante, et si tu te souviens de moi et n’oublies pas ta servante, et si tu donnes un fils1 à ta servante, alors je le donnerai à l’Éternel [pour] tous les jours de sa vie, et le rasoir ne passera pas sur sa tête.
Comme elle restait longtemps en prière devant l’Éternel, Éli observa sa bouche (…)
De nos jours le retour à Dieu est le seul remède pour éradiquer la pandémie, l’égoïsme, et l’angoisse qu’elle procure, la prière en est la potion la plus efficace qui soit.
J’invite ces femmes accablées par ce virus, à chercher-le réconfort et l’antidote dans la parole de notre seigneur Jésus-Christ.
Amen
Claude Juste
